Il faut réduire à la fois le nombre et la composition de ces commissions ; sinon les responsabilités se trouvent complètement diluées.
Il faut aussi que des associations de patients soient représentées en leur sein, ainsi que des personnalités qualifiées qui puissent leur apporter le regard du grand public.
Nous devons en outre réfléchir au statut à réserver aux lanceurs d’alerte.
Je pense avoir parlé du docteur Frachon – François Autain peut en porter témoignage.