Au Sénat, nous avons eu l’occasion d’aborder ce sujet en profondeur lors du débat de politique étrangère qui s’est tenu ce mardi.
Au-delà des formules toutes faites et des critiques à l’emporte-pièce, il est nécessaire de travailler dans la durée et de faire confiance au peuple tunisien, car il est bien le premier concerné. Gardons-nous de toute forme de paternalisme ou d’ingérence ! Soyons pragmatiques : ce qui importe, c’est la liberté, mais aussi la vie quotidienne des Tunisiens.