Monsieur le sénateur, la France est le premier partenaire de la Tunisie en matière de développement. Ce partenariat prend diverses formes, qu’il s’agisse de l’aide directe, des interventions de l’Agence française de développement, outil fantastique pour les politiques de développement menées dans le monde entier, ou, de plus en plus souvent désormais, de l’aide accordée par l’Union européenne, parfois aussi avec d’autres pays.
Permettez-moi d’apporter, à cet égard, quelques précisions chiffrées.
Tous organismes confondus, nous avons consacré, au cours des dernières années, plus de 1, 5 milliard d’euros pour financer des opérations en Tunisie dans un certain nombre de domaines.