La commission est naturellement défavorable à la suppression de l'article 25, qui prévoit, pour chaque opération de rénovation urbaine, la signature d'un accord de gestion urbaine de proximité.
Je le dis très nettement devant la Haute Assemblée : pour tous ceux qui s'occupent des quartiers sensibles, la gestion urbaine de proximité est actuellement un élément déterminant, d'une importance capitale. Ce point a peut-être été négligé au départ, mais, comme l'a dit M. Repentin, l'urbanité ne suffit plus, il faut maintenant y ajouter un peu d'humanité !