Monsieur le ministre, votre gouvernement aurait-il proposé de renoncer aux politiques non coopératives de l'Europe pour retrouver le chemin de la croissance et ainsi contribuer à réconcilier nos compatriotes avec le projet européen ?
Face à l'appréciation incontrôlée de l'euro, vous vous êtes rapproché de nos partenaires afin que les gouvernements exercent enfin les compétences que leur donne le traité de Maastricht sur la politique de change de l'euro. Nous aimerions savoir ce que vous inspire le monétarisme étroit de la Banque centrale européenne qui, malgré les risques alarmants de déflation, a tendance à relever inexorablement les taux d'intérêt.