Le projet de loi envisage une expertise conjointe. Il est également possible d'utiliser le travail des commissions de sécurité.
Selon un rapport d'information intitulé « Voyage au bout...de l'immobilier universitaire », remis voilà quelques années par notre collègue Jean-Léonce Dupont, « s'agissant de la région francilienne, qui dispose d'un parc immobilier universitaire de 1, 383 million de mètres carrés, et pour 138 bâtiments identifiés, si seulement 4 % des passages des commissions de sécurité se sont traduits par un avis défavorable, il convient de noter que 62 % des bâtiments n'ont pas été visités ».
Il semblerait donc judicieux, si un transfert est envisagé, que les commissions de sécurité puissent rendre un diagnostic préalable.