Monsieur le secrétaire d’État, j’ai pris bonne note de vos indications.
Toutefois, s’agissant des financements de l’ANRU, il faut souligner que des aménagements initialement prévus dans les quartiers que vous avez cités ont été sortis de la convention en cours de contrat. Leur réalisation repose aujourd’hui entièrement soit sur le département, soit sur la ville d’Angoulême. Je pense notamment aux centres médico-sociaux, destinés aux populations les plus fragiles.
Certes, la DSU augmentera, mais il n’en demeure pas moins que, dans les faits, la collectivité maître d’ouvrage est confrontée à des dépenses qu’elle n’avait pas prévues, tandis que ses rentrées fiscales connaissent malgré tout une baisse considérable.