Il faudrait alors, évidemment, élargir les compétences du Médiateur, en les situant dans un cadre plus collégial.
Cette solution est parfaitement compatible avec les directives et les recommandations européennes. Notre législation y gagnerait en simplicité, en efficacité et en légitimité.
J'avais cru comprendre que, du côté tant du Gouvernement que du Sénat, la simplification était à l'ordre du jour. Il me paraît donc difficile que l'on puisse s'opposer à l'amendement n° 40, que Mme Khiari va présenter.