Mes arguments sont identiques à ceux que nous venons d’entendre.
L’amendement n°°40 rectifié a pour objet de plafonner la rémunération des dirigeants dès lors que la société considérée bénéficie d’aides publiques, sous forme de recapitalisation. Le plafond que nous proposons correspond à vingt fois le salaire le plus bas constaté dans l’entreprise en question.
Je ne doute pas du fait que cet amendement retiendra l’attention du Gouvernement.