… puisqu’il prévoyait un défenseur des droits entouré de collaborateurs.
La seconde logique, défendue par un certain nombre d’entre nous, est différente. Elle repose sur l’existence de multiples autorités administratives indépendantes, ayant chacune pour objet de gérer des questions spécifiques, étant entendu que le vrai défenseur des droits est le juge. L’autorité administrative, elle, n’a pour mission que de régler des problèmes administratifs, car le juge n’est pas toujours disponible ni omniscient.
Cette deuxième logique a été écartée lors des débats sur la loi organique et nous en sommes revenus à une conception centralisée du Défenseur des droits.
Nous sommes ici un certain nombre à essayer de desserrer l’étau de ce véritable centralisme démocratique, puisque c’est un peu la règle qui régit cette institution, …