Monsieur le rapporteur, certes cela exige 1 300 plans triennaux d’investissements, mais cela tient au fait que notre pays compte de très petites collectivités. Or on sait bien que le renouvellement et les investissements ne sont pas les mêmes lorsqu’il s’agit d’une toute petite collectivité.
La loi a exigé une organisation en syndicats départementaux, pour le moins. Une vision à trois ans des travaux de renouvellement est indispensable, tant d’ailleurs pour les syndicats départementaux que pour leurs interlocuteurs à ERDF. C’est une bonne manière d’appréhender la réalité si l’on veut que les travaux soient effectivement réalisés.