Cette règle avait sans doute des effets favorables à la France au regard de la politique agricole commune, mais elle était défavorable à l’environnement.
Nous avons accepté de réviser ce mode de calcul et de reconnaître que certaines vaches rejetaient jusqu’à 100, 110 ou 120 kilogrammes d’azote par an dans l’atmosphère. Cela implique évidemment des contrôles plus rigoureux et plus efficaces. Ce décret va donc également dans le sens de la protection de l’environnement en Bretagne !