Monsieur le ministre, ce que nous demandons, c’est une prise de conscience politique : les dépenses en matière d’éducation qui n’ont pas lieu aujourd’hui devront être engagées demain ; le rattrapage sera donc plus important. En somme, l’attitude du Gouvernement pénalise à la fois le présent, par un déficit de moyens, et l’avenir, car la politique menée aujourd’hui aura des conséquences.
L’Association des maires de France s’en est elle-même émue par la voix de son président Jacques Pélissard, qui va saisir le Gouvernement pour contester la carte scolaire de 2011.