Une telle politique dépend évidemment du directeur. Du reste, je n’ai cessé de dire que le conseil de surveillance avait peu de pouvoirs ! Mais, si ce directeur est obligé une fois par an de présenter un projet écologique d’établissement, il devra auparavant y réfléchir et proposer des solutions. À l’inverse, si une telle obligation n’est pas prévue, les directeurs réticents se dispenseront de toute action en la matière. Or ce sont justement eux que nous souhaitons encourager à agir !
Votre réponse n’est pas sérieuse, monsieur le rapporteur. Bien sûr, vous avez parfaitement le droit de dire : « l’environnement, je m’en fiche ! », mais alors assumez votre position !