Parallèlement, nous devrons poursuivre l’action de recentrage de l’assurance maladie sur les dépenses les plus utiles sur le plan médical.
Je suis convaincu qu’avec les réformes de structures fortes que nous avons engagées, car il ne s’agit pas d’un vœu pieux ni d’un propos de tribune, nous avons la capacité de diminuer l’ONDAM en dessous de 3 % pendant plusieurs années.