Mais j’espère que nous nous entendrons sur l’essentiel.
Pour ma part, je suis convaincu que la voie que nous vous proposons est praticable.
C’est un chemin difficile. Il nous faudra une grande rigueur pour continuer à réformer et à préparer l’avenir. Il nous faudra également assumer les mauvais chiffres du présent, mais nous devrons garder à l’esprit que la priorité du moment est de sortir de la crise, je l’ai souligné à plusieurs reprises, et je souhaite que ce point soit acté.
Ce n’est qu’en sortant de la crise que nous résoudrons les problèmes de déficit ; ce n’est pas par des mesures ponctuelles qui la retarderaient et qui, au fond, accroîtraient durablement la dette.