Pourtant, il existe bien – son absence ne passe pas inaperçue ! –, et nous devons le prendre en compte pour les retraites.
Que l’on m’entende bien : je ne pense pas qu’il faille systématiquement refuser aux hommes toute possibilité de bénéficier d’une majoration pour enfants.
Nous connaissons tous aujourd’hui des pères qui, à suite d’un veuvage ou d’une séparation, assurent seuls, ou à titre principal, l’éducation de leurs enfants, et qui, comme les femmes, en pâtissent dans le déroulement de leur carrière.
Notre société juge d'ailleurs ces hommes admirables, alors que l’on n’en dit pas autant des femmes qui élèvent seules leurs enfants !