Le bon sens nous révèle un premier obstacle : comment mobiliser les Français pendant plus de quatre mois sur des enjeux tour à tour locaux puis nationaux ? Comment éviter la confusion entre les différentes campagnes électorales, ce qui risquerait de démobiliser les électeurs ?
Vous le savez, mesdames, messieurs les sénateurs, le taux de participation, s'il varie d'un type de scrutin à l'autre, est globalement en baisse depuis la fin des années quatre-vingt.