Il conviendrait d’étudier la question de la lutte contre le dopage plus globalement. Sauf erreur de ma part, la filière hippique dispose de ses propres moyens dans ce domaine et en assure le financement sur ses ressources propres.
Pour éviter toute discrimination entre les paris hippiques et les paris sportifs, il serait souhaitable d’examiner la possibilité d’instaurer une contribution identique dans l’une et l’autre des filières, afin d’assurer de façon pérenne le financement de la lutte contre le dopage, qui est une exigence absolue pour garantir la loyauté et la régularité des compétitions. Sans doute ne sommes-nous pas prêts techniquement pour aborder cette question dans l’immédiat, mais il serait peut-être envisageable de le faire dans le cadre de la discussion du projet de loi de finances pour 2011.