C’est un déni total de nos débats !
La mesure prévue est injuste ; c’est d’abord et avant tout, une mesure d’économie.
Les fonctionnaires seront financièrement contraints de participer à une solidarité qui exclut toujours bien évidemment les plus riches. Pourtant, ce ne sont pas eux qui grèvent les comptes publics ; c’est plutôt vous, monsieur le secrétaire d'État, qui réduisez les ressources.
Pour preuve, les rémunérations, pensions comprises de tous les fonctionnaires, qu’ils soient d’État, territoriaux ou hospitaliers, représentaient, en 2000, 13, 3 % du PIB §…
Monsieur le président, je ne puis poursuivre dans un tel brouhaha !