À partir du moment où l'on admet qu'il est impossible de baisser tous les impôts, il est indispensable de fixer des priorités claires, d'éviter le saupoudrage, ce que vous n'avez pas su faire !
Quand les marges de manoeuvre le permettent, il faut réduire en priorité les prélèvements les plus pénalisants pour l'activité économique.
S'acharner à baisser année après année l'impôt sur le revenu, qui est pourtant relativement léger en France par rapport aux autres pays - à peine plus de 3 % du PIB -, et laisser dans le même temps les cotisations sociales augmenter régulièrement année après année n'est sans doute pas le meilleur choix possible. C'est en tout cas le plus injuste, mais n'est-ce pas la marque de votre politique ?