Selon eux, le marché n'existe pas ; il ne doit pas exister.
Mais dites-moi, messieurs, sur quoi est établi le développement sinon sur le marché, qu'on le regrette ou non ? Or notre fierté sera que, dans dix ans, nous aurons tout à la fois permis un certain niveau de développement à cette nouvelle Europe dont nous portons l'ambition, et préservé nos acquis sociaux.
Par conséquent, essayer de faire peur aux Français en leur disant qu'ils vont perdre leur couverture sociale, c'est véritablement, à mon sens, une hypocrisie totale !