Madame Assassi, vous avez posé une vraie question : avec ce projet de loi qui tend à développer massivement les services à la personne pour les personnes fragiles, reste-t-on protégé par la loi de 2002 ? Je vous réponds par l'affirmative.
Pour le reste, vous ne pouvez pas continuer à dire qu'il ne constitue pas une avancée sociale, sauf à admettre que les chèques-restaurant n'en représentaient pas une non plus !