Je considère cependant qu'une éventuelle augmentation transitoire du ratio « dette sur PIB » en 2007 liée aux moindres recettes de privatisations ne constitue pas un appauvrissement patrimonial de l'État. En effet, ce qui détermine la politique de cessions, ce n'est pas le ratio de dette ! Le Gouvernement procède à ces cessions en fonction des opportunités et en tenant compte à la fois de l'intérêt de l'entreprise et de celui de l'État ainsi que, bien évidemment, des conditions de marché.
Je rappelle enfin que nous nous sommes engagés à ce que tout surplus de recettes soit consacré intégralement au désendettement de la France.