Monsieur le rapporteur spécial, je suis absolument désolé de vous contredire, mais je n'ai pas dit que l'augmentation des prix pouvait remettre en cause le programme.
J'ai dit deux choses : d'une part, que les effets de la hausse des prix se feraient nécessairement sentir sur les affectations des crédits de paiement ; d'autre part, que nous avions heureusement mis en place la formule « PPP », ou partenariat public-privé, qui nous assurait contre les régulations budgétaires excessives.