Monsieur le ministre, j'ai bien noté votre engagement, tout en remarquant que vous n'aviez pas prévu de délais.
Nous constatons que le chemin de la simplification est jonché de difficultés et qu'aucun article du code général des impôts ne paraît abrogeable.
Quoi qu'il en soit, je prends acte de votre engagement.
Puis-je vous donner un conseil sans que vous y voyiez la moindre condescendance ; au demeurant, la différence d'âge entre nous est telle que vous n'y trouverez pas matière à vous formaliser. Ayez l'ardeur réformatrice car nous comptons sur vous ! Je suis sûr que la commission des finances sera à vos côtés pour abroger ce qui est abrogeable. Ne nous contentons pas, en permanence, d'attendre le texte suivant : ce n'est pas digne de la fiscalité d'un pays moderne.
Cela étant, je retire l'amendement n° II-142.