C'est vrai que cette remise en cause d'un avantage n'a pas de sens, qu'elle n'est guère compréhensible. Est-il logique de surcharger les jeunes avocats qui, après tout, s'apparentent à certains égards à de jeunes créateurs d'entreprises ?
Je suis partagé : en pleine révision de la taxe professionnelle, le moment est-il bien choisi pour créer une nouvelle distorsion ou revenir à un système antérieur ?