Je ne suis pas hostile, bien au contraire, à l'existence et même au développement d'un fonds de péréquation. J'ai donné moi-même l'exemple, lorsque je présidais le conseil général de mon département, de ce qu'il fallait faire à cet égard. Ce n'est d'ailleurs pas sans raisons que j'ai été nommé président de syndicat mixte dans des communes dirigées par l'opposition, que j'avais soutenues, en leur assurant les moyens nécessaires, dans leur entreprise de modernisation et d'amélioration des conditions de vie de la population.
Cela étant, nous sommes devant une situation simple.
Je relèverai d'abord que vous êtes un excellent avocat, monsieur le ministre. Nous avons parlé tout à l'heure des avocats stagiaires ; si vous aviez besoin de vous reconvertir, je ne pense pas que vous rencontreriez de difficultés !