C’est de ne pas avoir renié l’élan de 2007, c’est de ne pas avoir tremblé devant les résistances, c’est de ne pas s’être égarés dans les moments décisifs où l’équilibre international et européen ne tenait qu’à un fil.
La force d’une nation repose sur sa capacité à regarder la vérité en face ; c’est pourquoi, cet honneur, je veux le partager avec les Français, qui, tout au long de nos réformes, tout au long de la crise, ont fait preuve de responsabilité.
La conjugaison de nos actions et de leurs efforts n’a pas été vaine.
Notre taux de croissance en 2010 sera supérieur à 1, 5 %, alors que nos prévisions, au début de l’année, étaient largement inférieures.