Une fois de plus, j’ai du mal à comprendre toutes ces contradictions.
L’intitulé du projet de loi comporte le mot « intégration » et il est question d’assimilation à l’article 1er, mais, dès que l’on parle, non plus des devoirs qui devraient être ceux des étrangers, mais de droits, et en particulier de droits politiques, tout change !
J’aurais aimé un peu plus de cohérence et de courage politique : que l’on cesse de nous opposer la Constitution, …