Et elles participent à hauteur de 5 % à la richesse nationale.
La compétitivité, quant à elle, doit servir de moteur à la croissance et à l'emploi dans notre pays. Je vais donc vous présenter les prévisions de croissance sur lesquelles nous nous sommes fondés pour l'élaboration de ce projet de loi de finances pour 2008.
Nous avons estimé prudent de tabler sur une croissance comprise 2 % et 2, 5 %, avec un point médian à 2, 25%. Cette prévision est compatible avec celles qu'ont établies différents économistes, qui varient entre 1, 5 % et 2, 6 %. Ce dernier chiffre est celui de l'Office français des conjonctures économiques, l'OFCE, organisme souvent cité par l'opposition dans les débats. Son optimisme tient précisément à l'effet de relance de la loi du 21 août 2007 en faveur du travail, de l'emploi et du pouvoir d'achat.