Je veux tout d’abord saluer les paroles mesurées de Gilbert Barbier.
Depuis quelques années – j’ai été élu en 2004, je suis donc un jeune sénateur – je suis les déficits successifs de la sécurité sociale : on nous dit qu’il faut diminuer les dépenses, mais j’ai le sentiment que l’on arrive maintenant au bout du bout de ce que l’on peut faire.
Certes, dans les hôpitaux, à l’échelon de la ville, on peut encore réaliser des économies.