Je suis sensible à votre argumentation, madame la ministre.
Les associations de patients ont été bousculées et, parce que les plans prévus pour ce type de maladies sont renouvelables tous les trois ou cinq ans, elles ont parfois le sentiment qu’aucune politique de continuité n’est menée. Même si cette problématique n’est pas totalement liée à celle que nous examinons, vous donnez, avec cette disposition, un signe aux personnes souffrant de maladie orpheline.
C’est pourquoi, malgré les votes émis en commission des affaires sociales, je soutiendrai votre sous-amendement.