Je tiens à remercier les trois présidents de séance qui se sont succédé depuis ce matin. Je tiens également à remercier M. le ministre, avec qui ce fut un plaisir de travailler - sauf quand il est question de l'article 40 ! - et dont les services ont répondu à toutes nos questions, parfois tard, voire très tard.
Je forme le voeu sincère que l'adoption de ce texte contribue à apaiser tous ceux qui ont tant souffert et à exprimer la juste reconnaissance de la nation à leur égard.