Permettez-moi de m'associer aux félicitations et aux compliments bien mérités qui ont été adressés tant à M. le président de la commission des finances qu'à M. le rapporteur général et à M. le ministre. Afin de ne pas offenser votre modestie, messieurs, je me contente de vous remercier tous pour votre écoute, votre disponibilité, votre courtoisie et votre sens du dialogue.
Bien entendu, monsieur le ministre, vous n'avez pas pu nous accorder tout ce que nous aurions souhaité. A tout le moins, chaque fois que nous avons formulé une demande, nous avons été écoutés.