Cette opération a tout même un caractère un peu singulier au regard des bonnes pratiques de gestion immobilière de l’État, monsieur le ministre.
Comment l’État a-t-il pu s’engager sur cinquante ans, avec un loyer aussi important - 1, 5 million d’euros -, loyer qui, indexé, dites-vous, atteindra un niveau de plus en plus élevé ?
Au fond, ce qui fait la valeur de la salle, c’est moins la situation du marché, si tant est qu’il y en ait un, …