Mes chers collègues, dans une assemblée censée défendre les fondamentaux de la République, il est pour le moins paradoxal d’entendre de telles déclarations, qui se démarquent totalement du libre arbitre comme de l’esprit critique, cet esprit critique qui, chers collègues, aurait dû vous inciter à vous déterminer par rapport au danger que présente l’amendement n° 51 rectifié.
Nous avions la prétention de penser qu’une société moderne aurait pu, sur un thème comme celui-là, concilier science et conscience.
En votant cet amendement, vous nous faites manquer une formidable occasion. Souhaitons pour vous que vous n’ayez pas à le regretter !