Lorsque j’ai relu, à tête reposée, l’amendement n° 51 rectifié, j’ai été effaré.
Indépendamment de la tactique évoquée par les uns et les autres, qui aboutit purement et simplement à un blocage du travail parlementaire - personne n’est dupe de cette manipulation - c’est vraiment un jour de deuil pour la recherche en France !