Je n’irai pas jusqu’à entonner le Dies irae, dies illa, mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque !
Vous rendez-vous compte, chers collègues, du blocage que vous provoquez pour la recherche médicale française ? Êtes-vous bien conscients de l’enjeu de ce texte, y compris pour la thérapie génique ?
Je n’insiste pas, mais je suis complètement abasourdi : vous aurez du mal à expliquer cela aux scientifiques, quelles que soient les positions religieuses des uns et des autres. C’est le progrès pour les vivants qui est en cause !