Tel est notre devoir envers ce secteur important pour notre pays, du point de vue économique, certes, mais aussi sur les plans environnemental et social. Il faut à tout prix endiguer l’hémorragie agricole qui est à l’œuvre depuis plusieurs années.
Les prêts que le Gouvernement prétend faire consentir par les banques ou le report des cotisations sociales représentent davantage une fuite en avant que des solutions : d’ailleurs, seuls les moins fragilisés des agriculteurs pourraient profiter de telles mesures.