Pour notre part, nous avons choisi, pour atteindre le même objectif, de soutenir une proposition de loi dont l’article 1er vise à interdire la fracturation hydraulique, seule technique aujourd’hui utilisable pour explorer ou exploiter les gaz de schiste, et dont l’article 2 tend à contraindre les industriels à sortir du bois et à se résoudre d’eux-mêmes à l’abrogation des permis.