Face à cette situation, la communauté internationale a, par la voix du secrétaire général des Nations unies, condamné les violences en Iran et appelé au respect des droits civiques dans ce pays.
Plusieurs États, ainsi que l’Union européenne, ont aussi individuellement condamné cette répression. La France a elle-même, à plusieurs reprises, exprimé sa vive préoccupation, et appelé à la libération immédiate des opposants arrêtés.
Monsieur le ministre, vous venez de faire le point, mais pourriez-vous nous indiquer, d’une part, la position que compte défendre la France lors de la réunion à cinq qui doit avoir lieu demain à Trieste, en marge du G8, et au cours de laquelle la situation en Iran sera évoquée, et, d’autre part, ce que la France pense de la proposition suédoise de réfléchir à un dispositif d’accueil, d’aide et d’assistance dans les ambassades européennes à Téhéran ?