Je comprends, madame la secrétaire d'État, que des efforts vont être faits en ce qui concerne les consultations, le nombre des praticiens, mais aussi sur le plan budgétaire, s’agissant des crédits alloués en faveur de cette partie du département de la Seine-Maritime. Autrement dit, votre réponse me laisse penser que nous allons avancer, un peu…
Je dis « un peu » parce qu’il demeure que, pour une population supérieure à 60 000 habitants dans cette partie de la Seine-Maritime, l’hôpital de Gournay-en-Bray ne dispose que de 136 lits et se limite essentiellement à une offre de gérontologie. Par conséquent, les malades du pays de Bray font l’objet d’une « ventilation », si j’ose dire, entre trois départements, puisqu’ils sont transportés soit à Rouen, soit à Beauvais, soit à Gisors.
Le fond de ma question portait, notamment, sur l’augmentation du nombre de lits et de l’offre dans ce territoire. Il semble qu’il soit répondu à une partie de mes demandes. Peut-être aurai-je le bonheur de voir le ministère de la santé s’occuper très prochainement du reste…