… à peine entrecoupé par quelques articles qui ne sont pas forcément inutiles.
Ceux d’entre nous, et j’en suis, qui ont assisté à tous les débats sur la décentralisation depuis 1982 reconnaîtront qu’ils n’ont jamais vu un texte présenté dans un tel désordre, avec un tel manque de conviction, avec un tel fatalisme.
Monsieur Raffarin, vous avez employé une formule tout à fait exacte, me semble-t-il, quand vous nous avez affirmé qu’on trouvait dans ce texte tout et n’importe quoi. Après cette parole profondément conforme à la vérité, il n’y a rien à ajouter !