Ma préoccupation est du même ordre que celle de M. Éric Doligé.
J'ai écouté avec grande attention la réponse de M. le rapporteur général sur notre proposition d'exclure la viticulture du champ d'application de la taxe ADAR, et une question m'est immédiatement venue à l'esprit : pourquoi ne pas en exclure aussi non seulement la conchyliculture, mais également la sylviculture ?
Pourquoi refuser d'en exclure la viticulture ?