Je vous poserai, monsieur le garde des sceaux, deux questions.
Premièrement, pourriez-vous demander que cessent à l’avenir ces pressions intolérables ?
Deuxièmement, pouvez-vous vous engager devant le Sénat à ce que les avis du Conseil supérieur de la magistrature soient suivis par l’autorité de nomination ?