Monsieur Barbier, vous avez le tort de ne pas avoir réglé tous les problèmes existants dans le même amendement et je crois que ce reproche est fondé. Vous êtes aux commandes : vous avez donc la mission de résoudre dans le même amendement non seulement le problème du manque de spécialistes dans certains endroits, mais aussi celui de la pénurie de généralistes.
Plus sérieusement, votre tentative est intéressante et le conseil de l’ordre des médecins travaille dans le même sens. Il me semble donc que nous pouvons tenter quelque chose. Si seuls ceux qui ne se trompent pas avaient le droit de formuler des propositions, il n’y aurait plus grand monde pour déposer des amendements.