Je saisis au bond les propos de M. le rapporteur général de la commission des affaires sociales : je ne sais pas s’il est d’usage que le Gouvernement interroge les parlementaires, mais tout de même, la réforme constitutionnelle imposant des études d’impact, je souhaiterais que les auteurs de ces amendements nous indiquent – non pas à un million d’euros près, certes, mais grossièrement – quelles sont les conséquences financières des mesures qu’ils proposent.