C’est un coup de poignard dans le dos !
J’en veux pour preuve complémentaire la manière dont vous avez bouleversé les règles existantes en matière de protocole d’accord préélectoral.
Par ailleurs, comment ne pas mettre en corrélation cette méthode avec celle que vous imposez au Parlement, en inscrivant l’examen de ce texte en plein cœur de l’été, au cours d’une session extraordinaire et, une fois encore, selon la procédure de l’urgence, comme l’a fait remarquer Annie David avec colère ?
Pour nous, le temps du débat a été trop court !