Vous dites que le patrimoine sera transféré à des actionnaires ou à des investisseurs privés. Non, le patrimoine sera transféré à une société qui sera détenue à 100 % par l'Etat. Il n'y a donc pas de transfert d'un patrimoine à des intérêts privés !
Ensuite, lorsque l'ouverture du capital aura lieu, la valorisation des intérêts minoritaires tiendra compte, naturellement, de l'ensemble des actifs de la société, lesquels n'auront pas changé de manière significative. Donc, le mauvais procès qui est fait s'agissant d'un transfert du patrimoine à des intérêts privés n'a pas lieu d'être.